L'Agence nationale de sécurité sanitaire recommande de diversifier sa consommation de légumes secs afin de réduire l'exposition aux isoflavones, des substances végétales proches des hormones féminines, qui présentent des risques pour la fertilité.
Suite au thread sur l’interdiction du soja en restauration collective là
J’ai lu l’article et ton post, mais je n’ai pas détaillé tes sources. Cependant j’ai l’impression que l’article et donc l’anses n’incriminent pas tant le Soja lui même que ses dérivés qui auraient des taux d’isoflavone bien plus importants.
Ils citent par exemple des biscuit avec des taux 100x plus élevés que la sauce soja.
Cette nuance pourrait expliquer les différences de conclusion j’imagine ?
Si c’est le cas, ce qui est très dommage c’est que les titres font mauvaise presse au soja et non à la surtransformation des aliments…
Oui comme avec toutes les substances c’est la dose qui compte. Ce qui est bénéfique à petite dose peut devenir un poisson à plus haute dose.
Je joins des captures d’un article sur les phytoestrogenes dans la ménopause, visiblement les risques à long terme n’ont pas été formellement écartés.
Mais de ce que je comprends (avertissement : je n’y connais rien et je risque de dire des conneries), ce n’est pas un problème de « surtransformation », les isoflavones sont bien présentes dans le soja, c’est juste que certaines manières de le préparer tendent à diminuer la teneur en isoflavones tandis que d’autres non (ou peu). La transformation est bénéfique, et je ne suis pas sûre que les produits riches en isoflavones aient forcément « plus » transformé le soja que les autres. Ils disent que la fermentation est bénéfique : la fermentation est bien une transformation, non ?
J’ai lu l’article et ton post, mais je n’ai pas détaillé tes sources. Cependant j’ai l’impression que l’article et donc l’anses n’incriminent pas tant le Soja lui même que ses dérivés qui auraient des taux d’isoflavone bien plus importants.
Ils citent par exemple des biscuit avec des taux 100x plus élevés que la sauce soja.
Cette nuance pourrait expliquer les différences de conclusion j’imagine ?
Si c’est le cas, ce qui est très dommage c’est que les titres font mauvaise presse au soja et non à la surtransformation des aliments…
Oui comme avec toutes les substances c’est la dose qui compte. Ce qui est bénéfique à petite dose peut devenir un poisson à plus haute dose. Je joins des captures d’un article sur les phytoestrogenes dans la ménopause, visiblement les risques à long terme n’ont pas été formellement écartés.
Mais de ce que je comprends (avertissement : je n’y connais rien et je risque de dire des conneries), ce n’est pas un problème de « surtransformation », les isoflavones sont bien présentes dans le soja, c’est juste que certaines manières de le préparer tendent à diminuer la teneur en isoflavones tandis que d’autres non (ou peu). La transformation est bénéfique, et je ne suis pas sûre que les produits riches en isoflavones aient forcément « plus » transformé le soja que les autres. Ils disent que la fermentation est bénéfique : la fermentation est bien une transformation, non ?