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Oskour !
Je vais ressortir l’anecdote d’une connaissance qui a travaillé à l’INRIA
Un ingé Capgemini sort que l’INRIA ne sait pas faire de mise en prod. La réponse a été sympa : on est trop occupé à faire du logiciel pas bugué…
Mon opinion, c’est que comme beaucoup de secteur, les services informatiques de la nations ne devraient surtout pas être confiés à des prestas (source solde, louvoie…) mais être gérés en interne ou via une entreprise d’état.
Sans vouloir polémiquer (parce que je suis d’accord que c’est une idée de m…), l’état français qui s’accorde le droit de regarder ces données la c’est le cadet de mes soucis quand on sait que les hébergeurs de ces plateformes ont d’office l’obligation de coopérer avec leur gouvernement. Amazon AWS, Microsoft Azure pour ne pas les citer.
Si j’ai bien compris, iels ont l’obligation de mettre une backdoor ? 😳
Ce dispositif imposé aux éditeurs de logiciels médicaux, décrit dans un document de travail titré « Référentiel d’Exigences Minimales LGC MDV Vague 2 », permettra à l’administration d’accéder aux données des dossiers médicaux des patients sans avoir à obtenir leur consentement, ni celui des professionnels de santé.
Il fait partie des exigences à respecter par les éditeurs de logiciels de gestion de cabinet pour obtenir le label « Ségur vague 2 », et les financements liés.
Les fumiers.
on se revoit à la plainte de groupe !