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pour une fois que notre gouvernement prend pas le parti des salauds…
Un gouvernement sans valeurs humanistes prendra toujours le parti des intérêts économiques et géopolitiques qui l’arrangent, peu importe le nombre de morts que ça implique. C’est la base de l’impérialisme.
C’est pas pour les beaux yeux des ukrainiens qu’on est de leur côté. Au début de la guerre, Macron tentait un rapprochement avec Poutine et voulait se faire médiateur entre l’Ukraine et la Russie. C’est seulement une fois le problème des imports de gaz russe réglé qu’on a pris le parti de l’Ukraine.
Oui, ça fait plaisir qu’on se retrouve du côté des opprimés et pas des oppresseurs pour une fois, mais c’est un pur accident de circonstances. Après une victoire de l’Ukraine (que je souhaite, je précise au cas où), il y aurait quasi assurément un dumping social des entreprises européennes vers l’Ukraine, où le droit du travail a été massacré par Zelensky qui a profité de la guerre pour le détruire de façon permanente. Derrière le prétexte de la remilitarisation de l’Europe, il y a une tactique de Macron pour garder du contrôle sur le gouvernement français, et continuer à passer ses réformes néolibérales - le nouveau besoin de budget militaire est déjà invoqué pour justifier de poursuivre la réforme des retraites, faire revenir le SNU, et décrédibiliser l’opposition en les traitant de poutinistes.
Quand le vent souffle de ton coté, hisse la voile.
Et oui, Macron est extrêmement ambivalent vis à vis de Poutine, tout comme son mentor, Sarkozy. Et bien sur qu’il va utiliser ça comme prétexte pour de la casse néolibérale. Mais je préfère encore que ce soit pour défendre l’Ukraine que pour aller aider Israel à Gaza.
Un gouvernement sans valeurs humanistes prendra toujours le parti des intérêts économiques et géopolitiques qui l’arrangent, peu importe le nombre de morts que ça implique. C’est la base de l’impérialisme.
C’est pas pour les beaux yeux des ukrainiens qu’on est de leur côté. Au début de la guerre, Macron tentait un rapprochement avec Poutine et voulait se faire médiateur entre l’Ukraine et la Russie. C’est seulement une fois le problème des imports de gaz russe réglé qu’on a pris le parti de l’Ukraine.
Oui, ça fait plaisir qu’on se retrouve du côté des opprimés et pas des oppresseurs pour une fois, mais c’est un pur accident de circonstances. Après une victoire de l’Ukraine (que je souhaite, je précise au cas où), il y aurait quasi assurément un dumping social des entreprises européennes vers l’Ukraine, où le droit du travail a été massacré par Zelensky qui a profité de la guerre pour le détruire de façon permanente. Derrière le prétexte de la remilitarisation de l’Europe, il y a une tactique de Macron pour garder du contrôle sur le gouvernement français, et continuer à passer ses réformes néolibérales - le nouveau besoin de budget militaire est déjà invoqué pour justifier de poursuivre la réforme des retraites, faire revenir le SNU, et décrédibiliser l’opposition en les traitant de poutinistes.
Je suis trop cynique sur le sujet pour applaudir.
Rien de tout ça est bénévole.
Quand le vent souffle de ton coté, hisse la voile.
Et oui, Macron est extrêmement ambivalent vis à vis de Poutine, tout comme son mentor, Sarkozy. Et bien sur qu’il va utiliser ça comme prétexte pour de la casse néolibérale. Mais je préfère encore que ce soit pour défendre l’Ukraine que pour aller aider Israel à Gaza.