"On a régulé pour le tabac, on a régulé pour l'alcool, à quand une régulation claire et nette sur le marketing alimentaire pour tous ces produits ultra-transformés ?", s'interroge Boris Hansel, chef de l'unité Nutrition Préventive de l'Hôpital Bichat à Paris.
Le coup du “un seul logo par produit” pour les gosses, ca permet aussi de les laisser avoir de la bouffe “fun” plutôt que tout interdire, et ca développe une bonne relations avec la nourriture, et les psy disent que c’est une bonne chose. (chuis pas psy et j’ai pas creusé le sujet en profondeur, mais ca m’a l’air pas mal du tout comme système)