J’ai trouvé le guide de style (qui ne parle pas que d’inclusif) super intéressant, et l’article aussi.
Intéressant, merci!
Le lien vers le guide pour ceux que ça intéresse: https://revueladeferlante.fr/wp-content/uploads/2022/05/Charte-La-Deferlante-mai2022.pdf
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Je n’ai rien contre l’écriture et le parlé inclusif mais j’ai une haine sans borne pour le point median et autres borborygmes typographiques.
“Chers client(e)s” ça existe depuis des dizaines d’années et ce n’est pas forcément plus compliqué à utiliser que le point médian
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Quand c’est imprononçable, on met le doublé, comme justement dans l’extrait que tu avais cité au départ, je ne vois pas où est le souci ?
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Donc on est d’accord que le point médian n’a aucun intérêt linguistique :)
Si, ne pas mettre la moitié de la population entre parenthèses, au propre comme au figuré
C’est vrai que les pays arabes ont réglé tous les problèmes de sexisme, au temps pour moi. Mais tu réalises que le point médian met tout de même en avant la forme masculine, puisque c’est la première qu’on lit ?
Je ne vois pas ce que la langue arabe a à voir là-dedans.
Pour la forme masculine en premier, effectivement, mais au moins l’autre forme est présente à égalité. On dit souvent “Mesdames et messieurs” dans cet ordre, les deux formes sont présentes avec la même importance
Le point médian est parfois le choix le plus léger, notamment dans les mots comme adhérent·es, et parfois franchement bof, comme pour juifs et juives.
Pour moi, c’est une abréviation comme Mme. Il y a des contextes où c’est plus léger et totalement acceptable, d’autres où ça fait tiquer. Personnellement je l’utilise exactement comme ça : je l’évite si je peux l’éviter tout en évitant le masculin générique, mais je ne me rends pas la vie impossible non plus.
Les fameux gargouillements de ventre de l’écriture
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