Le Sénat a voté fin octobre pour une interdiction très large de l'écriture inclusive, encouragé par Emmanuel Macron. Parce que la langue façonne notre perception du monde et notre manière de penser, Marie Barbier, cofondatrice et co-rédactrice en chef de la revue féministe “La Déferlante”, défend pourtant l'usage de l'écriture inclusive, comme un outil ne laisser de côté ni les femmes ni les minorités de genre.
J’ai trouvé le guide de style (qui ne parle pas que d’inclusif) super intéressant, et l’article aussi.
Le point médian est parfois le choix le plus léger, notamment dans les mots comme adhérent·es, et parfois franchement bof, comme pour juifs et juives.
Pour moi, c’est une abréviation comme Mme. Il y a des contextes où c’est plus léger et totalement acceptable, d’autres où ça fait tiquer. Personnellement je l’utilise exactement comme ça : je l’évite si je peux l’éviter tout en évitant le masculin générique, mais je ne me rends pas la vie impossible non plus.
Le point médian est parfois le choix le plus léger, notamment dans les mots comme adhérent·es, et parfois franchement bof, comme pour juifs et juives.
Pour moi, c’est une abréviation comme Mme. Il y a des contextes où c’est plus léger et totalement acceptable, d’autres où ça fait tiquer. Personnellement je l’utilise exactement comme ça : je l’évite si je peux l’éviter tout en évitant le masculin générique, mais je ne me rends pas la vie impossible non plus.