Résumé (Claude 3.5 Sonnet) :
L’article traite de l’annulation par le Conseil d’état d’un décret controversé sur l’habitat, surnommé “décret marchand de sommeil”.
Points clés :
- Le décret, adopté en août 2023, permettait la location de logements considérés comme “atypiques” (plafonds bas, sous-sols peu éclairés, etc.).
- De nombreuses associations, dont le Droit au logement (DAL), s’y opposaient, arguant qu’il favorisait les marchands de sommeil.
- Le Conseil d’état a annulé la majeure partie du décret pour défaut de consultation du Haut Conseil pour la santé publique.
- Le décret avait été modifié après l’avis du Haut Conseil, incluant des mesures controversées non soumises à son examen.
- Le gouvernement défendait le décret comme une solution à la crise du logement, permettant de mettre sur le marché des biens “atypiques”.
- Les associations de lutte contre le mal-logement ont salué cette décision, considérant qu’elle protège les locataires vulnérables.
- Cette annulation remet en question la stratégie du gouvernement visant à résoudre la crise du logement en assouplissant les normes d’habitabilité.
Franchement je vois mal comment quelqu’un pourrait faire croire que ce décret a été initialement fait pour le biens des français.
C’est clair que c’est du copinage, un cadeau pour des amis dans l’immobilier…
Parce que pour trouver des nouveaux logements ya une technique ancestrale qui consiste a en construire de nouveaux.
Ils ne seront pas “atypiques” mais au moins ça rendrait service a ceux qui en ont besoin… Pas les acheteurs en quête de biens atypiques…
C’était certainement pour le bien des français parce que cela permettait à tout le monde de pouvoir louer ses placards à balais…
Construire des logements oui mais pas n’importe comment. Sans politique d’urbanisme bien pensée, on perpétue ou crée des déséquilibres (cités dortoirs, quartier non mixtes) ou de l’étalement urbain (45min de voiture pour aller travailler).
Un exemple : Les projets de centre administratif/commerciaux géants impliquent une grosse demande de logements pour les fonctionnaires/employés qui vont y travailler. Mais aucun ou trop peu de logements sont prévus dans le quartier pour répondre au besoin créé.