Au 1ᵉʳ janvier 2024, la loi imposera aux collectivités de proposer des solutions de tri pour les biodéchets. De quoi réjouir les acteurs économiques d’une filière en plein essor.
Pour les gens sans espace exterieur, les lombricomposteurs sont géniaux. Ça demande un peu de se renseigner sur comment s’en occuper, mais ça marche très bien aussi :-)
Un ami a essayé et ça semblait un équilibre difficile à gérer.
Mon compost d’extérieur : je benne presque n’importe quoi dessus. Parfois je mélange. Et ça se débrouille. J’ai même eu deux tomates qui en sont poussées cette année. L’année dernière une pomme de terre.
Le lombricomposteur : il faut tout prédécouper en petits morceaux. Quand il y a des trucs blancs ou que ça pue c’est mauvais signe (perte d’équilibre). Il faut arroser régulièrement, donc quelqu’un qui passe en vacances d’été. En hiver il faut ralentir les apports.
En appartement, le moins contraignant d’après moi serait un composteur collectif en bas de l’immeuble.
Ou avec une terrasse, je miserai sur un tonneau à manivelle. Un truc où tu bennes n’importe quoi, un coup de manivelle et on oublie.
Effectivement, il faut un minimum s’en occuper et ce n’est pas du tout “je pose et j’oublie” comme ça peut l’être avec les composteurs. Mais si tu le mets en intérieur ou à l’ombre en extérieur (tant qu’il ne fait pas trop chaud ou trop froid, il ne faut pas tuer les vers !), il y a peu de problèmes liés à l’humidité, les aliments apportent généralement déjà l’eau nécessaire.
Il faut par contre bien équilibrer les apports entre azote et carbone, mais ça, c’est aussi plutôt facile à gérer, il faut généralement juste avoir du carton découpé sous la main à mettre en même temps que les aliments. Et les coquilles d’œuf broyées sont parfaites pour aider à réguler le Ph.
En gros, au début, ça demande un peu d’adaptation et il faut connaitre la liste des aliments autorisés, mais ensuite, c’est assez peu contraignant dans la pratique. Même pendant les vacances d’été, les vers peuvent tenir relativement longtemps sans nouveaux apports, et au pire, il est possible de donner des compléments spécifiques pour tenir un peu plus longtemps.
Le souci des composteurs collectifs, ce sont les autres. On ne peut pas mettre non plus n’importe quoi dans un composteur, et vu comment sont utilisés les bacs de tris collectifs, on aura le même type de comportement de certaines personnes avec les composteurs.
Pour les gens sans espace exterieur, les lombricomposteurs sont géniaux. Ça demande un peu de se renseigner sur comment s’en occuper, mais ça marche très bien aussi :-)
Un ami a essayé et ça semblait un équilibre difficile à gérer.
Mon compost d’extérieur : je benne presque n’importe quoi dessus. Parfois je mélange. Et ça se débrouille. J’ai même eu deux tomates qui en sont poussées cette année. L’année dernière une pomme de terre.
Le lombricomposteur : il faut tout prédécouper en petits morceaux. Quand il y a des trucs blancs ou que ça pue c’est mauvais signe (perte d’équilibre). Il faut arroser régulièrement, donc quelqu’un qui passe en vacances d’été. En hiver il faut ralentir les apports.
En appartement, le moins contraignant d’après moi serait un composteur collectif en bas de l’immeuble.
Ou avec une terrasse, je miserai sur un tonneau à manivelle. Un truc où tu bennes n’importe quoi, un coup de manivelle et on oublie.
Tu as un lombricomposteur ?
Oui, j’ai en effet un lombricomposteur.
Effectivement, il faut un minimum s’en occuper et ce n’est pas du tout “je pose et j’oublie” comme ça peut l’être avec les composteurs. Mais si tu le mets en intérieur ou à l’ombre en extérieur (tant qu’il ne fait pas trop chaud ou trop froid, il ne faut pas tuer les vers !), il y a peu de problèmes liés à l’humidité, les aliments apportent généralement déjà l’eau nécessaire.
Il faut par contre bien équilibrer les apports entre azote et carbone, mais ça, c’est aussi plutôt facile à gérer, il faut généralement juste avoir du carton découpé sous la main à mettre en même temps que les aliments. Et les coquilles d’œuf broyées sont parfaites pour aider à réguler le Ph.
En gros, au début, ça demande un peu d’adaptation et il faut connaitre la liste des aliments autorisés, mais ensuite, c’est assez peu contraignant dans la pratique. Même pendant les vacances d’été, les vers peuvent tenir relativement longtemps sans nouveaux apports, et au pire, il est possible de donner des compléments spécifiques pour tenir un peu plus longtemps.
Le souci des composteurs collectifs, ce sont les autres. On ne peut pas mettre non plus n’importe quoi dans un composteur, et vu comment sont utilisés les bacs de tris collectifs, on aura le même type de comportement de certaines personnes avec les composteurs.