• @flyos
    link
    5
    edit-2
    8 months ago

    L’article ne le mentionne que tout à la fin, mais ça concerne les épreuves de surf. Que ça ne se déroule pas à Paris, on voit bien pourquoi, mais pourquoi en Polynésie plutôt qu’à, par exemple, Biarritz, c’est assez incompréhensible en effet…

    • @Sphks@lemmy.dbzer0.com
      link
      fedilink
      78 months ago

      Moi je ne trouve pas ça déconnant. Ça n’a rien à voir avec Biarritz. Extrait de Wikipedia :

      “Teahupo’o est un spot de surf mondialement célèbre pour ses gauches. En effet, on y trouve parmi les vagues régulières les plus larges et les plus épaisses du monde. Le fond très escarpé écroule brutalement de longues houles sur le récif corallien, créant ainsi des vagues très particulières, demandant un take off (action de se lever sur la planche) instantané et brutal pour ensuite enchaîner un tube. Ce spot figure parmi les plus dangereux du monde, le fond corallien étant à quelques dizaines de centimètres de la surface et l’énorme vague s’écrasant sur la barrière de corail. Il y a régulièrement des accidents, parfois mortels.”

      C’est une compétition mondiale - les sportifs et touristes viennent des 4 coins du monde. Que ce soit à Biarritz ou à Tahiti, il y a peu de différences.

      Je trouve ça bien d’inclure les Dom Tom tant qu’on peut le faire. C’est l’opportunité rêvée pour les mettre en lumière aux yeux du Monde.

      • @flyos
        link
        48 months ago

        Soit, ça se défend. Je dois avouer que je suis pas très compétition sportive de base, donc mon curseur “absurde” sur la dépense en fric, énergie et CO2 est assez bas, mais je veux bien admettre que relativement parlant au reste de l’événement, ce sont de bons arguments que tu nous donnes là.

        (Par contre, inclure les DOM-TOM, c’est bien, je suis d’accord, mais l’article montre justement que les polynésiens là, ils sont pas super contents !)

        • @Sphks@lemmy.dbzer0.com
          link
          fedilink
          4
          edit-2
          8 months ago

          “Des” polynésiens ne sont pas contents. Et dans les mécontents, il y a les loueurs de logements touristiques qui souhaitaient que les athlètes soient hébergés dans les leurs logements touristiques . Ils sont mécontents parce qu’ils en veulent davantage. Pas parce qu’ils en veulent moins. Mais ils ne se rendent pas compte du bordel d’un “village olympique” et des impacts lourds sur l’infrastructure. Il est rare de voir des villages olympiques qui ne sont pas devenus des verrues par la suite. Barcelone est une exception réussie par exemple.