Et bien je trouve qu’on souffre beaucoup de ces injonctions à se positionner fermement sur des sujets complexes
Bon je vois, on n’arrivera pas à s’entendre :D
Je pourrai être d’accord avec ça sur certains sujets, mais en faire une règle générale ça revient à ne rien faire. C’est un genre de principe de précaution inversé quoi (sur ce qui est déjà en place plutôt que sur des innovations techno).
Tu le dis toi-même, il est déjà trop tard, donc autant interdire oui, et changer radicalement de mode de production.
C’est probable mais ça reste cordial et c’est déjà très bien ! 😁
C’est un choix politique que je respecte de vouloir tout interdire dès maintenant, mais il faut en assumer les conséquences très probables à savoir une perte de rendement provisoire et une forte inflation alimentaire. On peut discuter de la valeur exacte de ce risque, mais ça me paraît dur de nier son existence non ?
En tout cas, si c’est pris en compte dans le projet, c’est une question de priorité entre différents enjeux, qui se tranche politiquement. Et donc, encore une fois, j’ai du respect pour cette orientation politique si elle est réfléchie.
Politiquement, je serais plus sur un plan de grande ampleur à 5 ans (je suis d’accord qu’il faut aller vite mais on peut pas remplacer les efforts nécessaires par la brutalité des décisions) à l’échelle européenne pour mettre en place une vraie transition vers un autre mode agricultural, qui tendrait à n’utiliser aucun pesticide, sauf en cas de force majeure lié à un ravageur pour lequel aucune alternative n’existe. L’idée pour éviter ces cas de forces majeurs serait notamment d’augmenter drastiquement la diversité génétique et spécifique (type agroforesterie) des cultures.
Peut-être même on pourrait être d’accord sur ce plan ! (mais je pense que l’exception de “force majeure” ne te plaira pas)
Bon je vois, on n’arrivera pas à s’entendre :D
Je pourrai être d’accord avec ça sur certains sujets, mais en faire une règle générale ça revient à ne rien faire. C’est un genre de principe de précaution inversé quoi (sur ce qui est déjà en place plutôt que sur des innovations techno).
Tu le dis toi-même, il est déjà trop tard, donc autant interdire oui, et changer radicalement de mode de production.
C’est probable mais ça reste cordial et c’est déjà très bien ! 😁
C’est un choix politique que je respecte de vouloir tout interdire dès maintenant, mais il faut en assumer les conséquences très probables à savoir une perte de rendement provisoire et une forte inflation alimentaire. On peut discuter de la valeur exacte de ce risque, mais ça me paraît dur de nier son existence non ?
En tout cas, si c’est pris en compte dans le projet, c’est une question de priorité entre différents enjeux, qui se tranche politiquement. Et donc, encore une fois, j’ai du respect pour cette orientation politique si elle est réfléchie.
Politiquement, je serais plus sur un plan de grande ampleur à 5 ans (je suis d’accord qu’il faut aller vite mais on peut pas remplacer les efforts nécessaires par la brutalité des décisions) à l’échelle européenne pour mettre en place une vraie transition vers un autre mode agricultural, qui tendrait à n’utiliser aucun pesticide, sauf en cas de force majeure lié à un ravageur pour lequel aucune alternative n’existe. L’idée pour éviter ces cas de forces majeurs serait notamment d’augmenter drastiquement la diversité génétique et spécifique (type agroforesterie) des cultures.
Peut-être même on pourrait être d’accord sur ce plan ! (mais je pense que l’exception de “force majeure” ne te plaira pas)