Œil

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  • ŒiltoLézards du fil[Livres Arts de fil] Partageons nos ressources !
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    2 小时前

    Pour l’instant, pour le tricot, celui qui m’a le plus servi pour la technique, c’est Tricoter ses chaussettes : toutes les techniques - E.Drouin / E.Morand. Mais je préfère regarder des vidéos explicatives en général. Pour les patrons, j’utilise pas mal Ravelry, et pour ceux que j’ai en livres ou magazines, j’aime toujours aller voir les photos des utilisateurs de ce réseau, que je trouve plus réalistes. Le choix photographique des livres/magazines peut être parfois trompeur.

    Les plus drôles de mon stock, y compris pour les réclames sexistes de l’époque, ça reste quand même les magazines 100 idées des années 70, qui proposaient patrons de couture, tricot, crochet, etc. Certains n’ont pas vieilli, mais pour d’autres, c’est une autre paire de manches…Pour vous donner une idée, justement : Cravates tricotées , Style grande parade , Jacquards cosmiques.
















  • Je lis actuellement L’écroulement de la Baliverna, un recueil de nouvelles de Dino Buzzati, qui était très doué pour instiller une certaine sensation de malaise… La nouvelle éponyme prend le point de vue d’un homme terrifié après avoir provoqué incidemment l’écroulement d’un vieux bâtiment mal entretenu de logements sociaux. D’autres, comme « Les Souris » (où des souris prennent possession d’une maison familiale) ou « Il était arrivé quelque chose » (où les passagers d’un train réalisent, en regardant par la fenêtre, qu’une situation terrible est en cours dans le pays, mais personne n’ose piper mot) font malheureusement écho à l’actualité.


  • Salut ! Je ne sais pas si ce sujet t’intéresse toujours un an après, mais “Esprit de justice” avait fait un podcast à ce propos en 2022 : Le droit dans la peau.

    En 2006, un Suisse, Tim Steiner, fut tatoué dans le dos par un artiste provocateur, Wim Delvoye, au terme d’un contrat qui obligeait l’homme-objet d’art à se mettre à disposition de l’artiste trois fois par an pour être exposé au musée ou en galerie en s’asseyant des heures sur un piédestal afin de se montrer comme œuvre. Sans compter qu’il faudra statuer sur le devenir de cette peau après le décès de son support corporel, cela pose de multiples questions : le sujet doit-il être autorisé à se livrer à cette sorte d’automutilation artistique ? Cela ne heurte-il pas le principe de la dignité humaine ?

    La revue de sciences sociales et humaines « La Peaulogie » a également publié plusieurs numéros sur le sujet du tatouage, dont notamment cet article Tatouages au cinéma. Du détail épidermique à la figure majeure

    On s’éloigne un peu de ton cas de figure, mais c’est intéressant.