• @HenriVolney@sh.itjust.works
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    72 months ago

    Ah ben c’était comme ça il y a 30 ans, on revient donc à la situation pré-crise de recrutement. Peut-être que les neoprofs seront véritablement formés cette fois-ci et qu’on leur epargenera le discours à la con du genre “y’a pas de recette, il faut faire tous ses cours tout seul et trouver sa voie” et autres merdes New Age réchauffées qu’on balançait dans les IUFM à l’époque… Tu vas te faire opérer par un chirurgien qui trouve sa propre voie, toi?

  • @moitoi@lemmy.dbzer0.com
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    2 months ago

    Le concours pour devenir enseignant

    Opinion impopulaire : Il faudrait complétement arrêter les concours pour les postes de l’Etat et les mettre sur le marché de l’emploi traditionnel pourla majorité. Pour les professeurs, c’est différent. J’en conviens. Cependant, cela ne veut pas dire garder les concours. La France pourrait mettre en place une formation universitaire en “professeur” 180 crédits ETCS jusqu’à une certaine section. Puis, pour les sections supérieures, ce serait un parcours traditionnel universitaire de type master. À la suite du master, il faudrait faire un diplôme en pédagogie et enseignement.

    • @Ziggurat@sh.itjust.works
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      Français
      12 months ago

      Opinion impopulaire : Il faudrait complétement arrêter les concours pour les postes de l’Etat et les mettre sur le marché de l’emploi traditionnel pourla majorit

      Tiens d’ailleurs, ça marche comment ailleurs ? (Parlons pas des US, mais Suisse, Belgique, Allemagne, Espagne,Italie pour prendre les pays limitrophes). Mais c’est vrai que la situation actuelle ou tu passe un concours (dont une bonne partie est déjà sur titre et CV, pour gagner juste le droit de postuler, et plein de gens ont le concours mais pas de première affectation donc font autre chose en attendant voire perde le bénéfice du concours.

      • @moitoi@lemmy.dbzer0.com
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        Français
        22 months ago

        Dans les pays germaniques, c’est basé sur le marché du travail. Il y a des apprentissages et des diplômes du tertiaire. Ils valent autant pour le privé que pour le public. Tout le monde pioche dans le même “sac”. C’est ainsi les conditions qui vont faire une différence et l’Etat doit offrir des bonnes conditions pour pouvoir recruter.