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L’opinion publique pense généralement que les trottinettes électriques sont néfastes pour l’environnement : courte durée de vie, pollution des batteries électriques, remplacement de modes de transport plus vertueux et, finalement, alourdissement du bilan carbone des villes.
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L’usage de trottinettes partagées (bien gérées) émet aujourd’hui à Paris environ 60 grammes de CO2eq/km. Qu’en est-il des autres modes de transport parisiens,!
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Parmi les pires modes de transport pour le climat : le bus diesel (120 grammes de CO2eq/pkm par passager transporté sur 1 km (pkm)), la voiture personnelle (200 grammes de CO2eq/pkm), et enfin… le taxi (300 grammes de CO2eq/pkm) !
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Le problème que posent les trottinettes partagées à Paris au niveau de leurs émissions de GES, c’est qu’elles sont principalement utilisées à la place de modes moins impactants […] Ainsi, sur l’année 2019, nous avions estimé que les trottinettes partagées avaient généré 13 000 tonnes de CO2eq supplémentaires dans la ville.
En effet le titre de l’article n’est pas bon puisque l’article ne parle que de l’empreinte carbone. Et oui, l’interdiction est plutôt liée au non respect des règles du code le la route et d’une manière générale au respect de l’espace public (trottinettes posées en vrac sur les trottoirs ou sur les pistes cyclables, …)
et il ne parle que de l’empreinte carbone au km. Est-ce que l’empreinte carbone de la construction et du recyclage est prise en compte ? Un bus fait 1 million de km (avec un changement de moteur), j’ai entendu parler en plein boom du phénomène trottinettes en free floating d’une durée de vie moyenne de 28 jours pour une trottinette. Donc même s’ils ont triplé la durée de vie des trotinettes l’eimpreinte carbone de sa construction, livraison, recyclage doit être énorme.