En pleine période des attentats de 2015, un agent de la DGSI a détourné des fonds destinés à rémunérer des hackers qui infiltraient les réseaux djihadistes. Si l’affaire a été jugée, les services se …
J’adore la description des “hacker” même si c’est probablement romantisé
Parallèlement, ledit Xavier Julie gère des « sources techniques », autrement dit des hackers de très haut niveau. « Des punks à chien avec le QI d’Einstein, résume un autre ancien du service. Des hackers capables de craquer des sites djihadistes, par exemple. » Ces hackers, notamment quand il s’agissait d’opérer sur lesdits sites djihadistes, n’étaient pas très bien rémunérés, quelques milliers d’euros. Mais, d’après une source ayant eu à connaître des fonds spéciaux des services de renseignement, cela pouvait monter à 100 000 euros pour acheter des vulnérabilités sur des sites de grandes entreprises ou d’administrations d’autres États.
J’adore la description des “hacker” même si c’est probablement romantisé