- Dans le cadre de l’enquête sur les modalités du contrôle par l’État et de la prévention des violences dans les établissements scolaires (article 5 ter de l’ordonnance n° 58 1100 du 17 novembre 1958), table ronde réunissant des représentants de collectifs de victimes : M. Alain Esquerre pour les victimes de Notre-Dame de Bétharram, M. Bernard Lafitte pour les victimes de Notre-Dame du Sacré Cœur de Dax, M. Michel Lavigne pour les victimes de Notre-Dame de Garaison, M. Didier Vinson, membre du collectif des victimes de Saint-Pierre de Relecq-Kerhuon, Mme Constance Bertrand pour les victimes de Saint-Dominique de Neuilly-sur-Seine, Mme Evelyne Le Bris pour les victimes du Bon pasteur d’Angers, M. Gilles Parent pour les victimes de Saint-François-Xavier d’Ustaritz, et Mme Ixchel Delaporte, pour les victimes de Riaumont de Liévin
À noter que vous pouvez télécharger la vidéo ou juste l’audio, depuis le lecteur (la flèche vers le bas et la note de musique). Pratique pour des trucs aussi longs.
Ce qui me frappe, plutôt que “les chiens l’ont bouffé” qui fait le tour des journaux, c’est que les représentant.e.s des assos de victimes parlent très clairement de systèmes de cruauté organisée envers des enfants et ados : rectorats, maires, parents… Et même des villages entiers. Il n’y avait pas que des écoles chrétiennes, mais écoles publiques, maison de redressement… Leur parole a une porté énorme, si on veut bien les écouter.
Dans le dernier tiers Vincent Vinzon indique que ses camarades victimes de violences avec lui avaient tous un trouble dys ou de l’attention. Il s’agit donc aussi d’une violence validiste intense.
Ce qui me frappe, plutôt que “les chiens l’ont bouffé” qui fait le tour des journaux, c’est que les représentant.e.s des assos de victimes parlent très clairement de systèmes de cruauté organisée envers des enfants et ados : rectorats, maires, parents… Et même des villages entiers. Il n’y avait pas que des écoles chrétiennes, mais écoles publiques, maison de redressement… Leur parole a une porté énorme, si on veut bien les écouter.
Dans le dernier tiers Vincent Vinzon indique que ses camarades victimes de violences avec lui avaient tous un trouble dys ou de l’attention. Il s’agit donc aussi d’une violence validiste intense.