L’ancien chef de la direction centrale du renseignement intérieur était soupçonné d’avoir profité de ses réseaux pour obtenir informations confidentielles et privilèges au bénéfice, notamment, du PDG de LVMH, Bernard Arnault.
Son confrère a, lui, estimé que son client n’avait « pas démérité tout au long de sa vie » au service de la France. Les avocats de plusieurs autres prévenus ont aussi fait valoir les carrières « irréprochables » de leurs clients.
Il dit qu’il voit pas le rapport.