Paris - Apparemment, on n’a encore rien trouvé de plus puissant. La peur. La peur comme argument de vente, la peur comme moteur du changement, la peur comme fédérateur. Médias, représentants associatifs, responsables politiques : nous usons et abusons de cette arme pour attiser la curiosité de nos lecteurs, faire avancer des causes, gagner des voix.
C’est ironique. Il suffit de voir comment, elle et son torchon, ont traité l’affaire Garrido.