Depuis le 2 septembre, 51 hommes de tous âges, de métiers et d’origines diverses, ont été jugés par la cour criminelle du Vaucluse. A la barre, 50 d’entre eux ont défilé pour raconter leur parcours de vie et s’expliquer sur les viols commis sur Gisèle Pelicot, sous la direction de son mari Dominique, qui la droguait. Si certains reconnaissent les faits, d’autres nient toute responsabilité. Retour sur leurs profils, dans l’ordre de leurs interrogatoires.
Il y a vraiment un reflexe “orge en summérien” mais en même temps ça révèle un peu qu’ils n’ont de notion du viol que celui dans la rue par un inconnu qui est le moins courrant…
Il y a vraiment un reflexe “orge en summérien” mais en même temps ça révèle un peu qu’ils n’ont de notion du viol que celui dans la rue par un inconnu qui est le moins courrant…