« Je suis en détention de sédatif. Ça vous donne un sentiment de pouvoir, de puissance, ça vient un peu flatter votre ego, vous êtes en possession de quelque chose d’interdit, vous êtes dans la jouissance totale. »
Glaçant. Pauvre Madame Pelicot qui doit entendre ces témoignages un par un depuis des semaines. Aucune empathie chez cet homme. « Ah oui c’est cool je pourrais essayer de faire pareil chez moi pour voir comment ça rend. » Et il ne l’a finalement pas fait mais a fait pleins d’autres choses effroyables, je vous laisse aller lire si vous en avez le courage.
Comment est-ce qu’on peut arriver à se dire une chose pareille ? Est-ce que c’est la même chose en cas de guerre quand tuer / massacrer devient petit à petit la normalité quotidienne ?
…💀
Rien qu’en lisant le titre, j’ai juste envie de vomir. Je comprends pas les 51 hommes.
Dans l’amour ya tout une dimension du jeu qu’une personne qui dort ne peut pas conmuniquer.
Un bon plat, des petites attentions, des compliments, de la tendresse, la complicité dans le regard de l’un.e et l’autre. Écouter, rassurer, etre joyeux, avoir envie…
Est ce que tu aimes ci et ça ? Pas trop ? Ça va ? Comme ça ? Tu veux qu’on arrête ? Là c’est absent, ya pas de complicité. La dimension objet, peut aussi etre érotique si on aime bien être dominé ou soumis. Se sentir prit, se donner, posseder…toujours avec un cadre.
Là ya rien. Juste une femme sous sédatif qui dort.
