En octobre 2024, l'Université de Lorraine tourne une page de son histoire numérique en quittant définitivement la plateforme X (anciennement Twitter). Cette décision marque le début d'une refonte complète de sa stratégie éditoriale digitale. Pour mieux comprendre les enjeux et les objectifs de cette transition, nous avons rencontré David Diné, Directeur de la communication de l'université, qui nous éclaire sur cette nouvelle ère de la communication universitaire à l’Université de Lorraine.

TL ; PL : l’UL quitte X mais reste sur les RS classiques. Elle rejoint le fédivers mais au travers de Thread. Elle veut publier moins mais mieux.

  • laemFrançais
    5·
    2 months ago

    Donc en résumé, l’université de Lorraine, université française qui peut se targuer d’avoir une ambition sur le numérique et l’influence politique, fait le choix explicite de confier toute sa communication externe à des GAFAM, mais noie le tout dans un enrobé de “sobriété informationnelle”.

    J’ai un peu honte.

  • SnoopyFrançais
    2·
    2 months ago

    Je propose un nouveau titre : UL quitte X et reste dans le GAFAMivers.

    • leftascenter
      3·
      2 months ago

      Et on résume : corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit, corpo bullshit,

      • Snoopy
        2·
        2 months ago

        “Corpo thieve” Jonny Silverhand 😎👍

  • ՈրբունիFrançais
    1·
    2 months ago

    La sobriété informationnelle ce serait d’avoir uniquement un flux RSS et un site Web 1.0 pour les annonces qui peuvent intéresser le public.

    Qu’ils investissent pour créer plus de filières à distance sinon, ça aide à la mobilité sociale pour les personnes qui n’ont pas la possibilité de se déplacer. Il y a un gros creux dans pas mal de matières dans l’Est (quand le plus proche c’est Nanterre c’est plus trop l’Est). Quand la seule université à proposer les examens en ligne est à l’autre bout de la France et qu’il n’y a rien de proche pour pouvoir y aller, le choix est vite fait, on s’inscrit à l’autre bout de la France. Ils n’auraient même pas à avoir les examens en ligne pour être pertinents.

    Leurs licences à distance il y en a vraiment peu. Y a quand même théologie, vu le peu d’universités qui ont cette matière, ça montre qu’ils savent que c’est utile.