L’ancien négociateur du Brexit, devient premier ministre, à 73 ans, en pleine crise politique, avec la délicate mission de trouver un chemin dans une assemblée nationale éclatée en trois blocs.
Il doit me manquer un élément mais je suis peut-être trop stupide : les républicains ont littéralement explosé et ont fait un score piteux. Ce n’est plus qu’un coquille ville. Macron assume ouvertement être de droite depuis un bail. Donc : Barnier, en tant que technocrate représene d’une coquille vide sera le bon soldat du consensus macroniste.
Il donne des gages aux LR perdus dans le shéol, défèque sur les résultats de sa propre dissolution, comment ne pas croire que les citoyens vont encore plus basculer dans le ressentiment ?
Tant que le ressentiment ne les pousses pas a gauche (ce qui parait dur dans l’État actuel des choses) il s’en fout. Son jeu c’est de continuer sur une lignée econoliberale autoritaire, jusqu’à ce qu’il atteigne un état autoritaire econoliberal.
Il doit me manquer un élément mais je suis peut-être trop stupide : les républicains ont littéralement explosé et ont fait un score piteux. Ce n’est plus qu’un coquille ville. Macron assume ouvertement être de droite depuis un bail. Donc : Barnier, en tant que technocrate représene d’une coquille vide sera le bon soldat du consensus macroniste.
Il donne des gages aux LR perdus dans le shéol, défèque sur les résultats de sa propre dissolution, comment ne pas croire que les citoyens vont encore plus basculer dans le ressentiment ?
Tant que le ressentiment ne les pousses pas a gauche (ce qui parait dur dans l’État actuel des choses) il s’en fout. Son jeu c’est de continuer sur une lignée econoliberale autoritaire, jusqu’à ce qu’il atteigne un état autoritaire econoliberal.