Les groupes financiers ont bénéficié du désengagement de l’Etat dans les besoins de santé pour s’engouffrer dans le secteur, explique l’économiste Nicolas Da Silva dans un entretien au « Monde ». Au risque d’imposer leurs normes.
Bande de cons, c’est voulu. Désengager l’état sur ces questions qui ne concerne de toute façon que les prolos, les autres riches iront de toute façon dans des cliniques privées. Qu’ils aillent au diable
Bande de cons, c’est voulu. Désengager l’état sur ces questions qui ne concerne de toute façon que les prolos, les autres riches iront de toute façon dans des cliniques privées. Qu’ils aillent au diable