Vaste sujet : le plastique à la nitrocellulose rétrécit avec le temps, les caoutchoucs vulcanisés aussi et ils deviennent cassants (les très anciens stylos sont en caoutchouc très dur qui ne tolère même pas l’eau). L’encre séchée c’est rarement en problème. Les stylos qui ont survécu ont en général des plumes en or. Il faut principalement tout polir, stabiliser le plastique, et resserrer les décorations qui essaient de partir du plastique rétréci. Nouveaux placages éventuellement mais avec de l’or ça ne vaut pas le coup.
Les pistons c’est assez rare sur le très ancien, beaucoup remplis à la pipette aux débuts jusqu’aux années 1910, puis des réservoirs souples : une vessie en caoutchouc dans le corps qui est pressée avec un levier ou un bouton pour faire appel d’air (et donc d’encre quand on trempe la plume). Il y a aussi eu des JIF Waterman à cartouche en verre (des stylos américains transformés en France), j’en ai un seul mais si j’en trouvais d’autres pour pas trop cher ça m’intéresserait rien que parce que ça n’a aucun sens.
Je n’avais pas du tout pensé au plastique et au caoutchouc ! (Et c’est la première fois que j’entends parler de cartouches en verre.) C’est intéressant, comment est-ce qu’on stabilise le plastique ?
Il faut principalement qu’il soit bien poli et pas cassé, sinon au contact de l’humidité ou des sécrétions des mains ça peut mal se passer. Le caoutchouc vulcanisé peut être légèrement chauffé pour le rendre moins sec d’aspect. Difficile de faire des miracles… et il faut toujours se contenter des encres connues pour ne pas poser de problèmes.
Vaste sujet : le plastique à la nitrocellulose rétrécit avec le temps, les caoutchoucs vulcanisés aussi et ils deviennent cassants (les très anciens stylos sont en caoutchouc très dur qui ne tolère même pas l’eau). L’encre séchée c’est rarement en problème. Les stylos qui ont survécu ont en général des plumes en or. Il faut principalement tout polir, stabiliser le plastique, et resserrer les décorations qui essaient de partir du plastique rétréci. Nouveaux placages éventuellement mais avec de l’or ça ne vaut pas le coup.
Les pistons c’est assez rare sur le très ancien, beaucoup remplis à la pipette aux débuts jusqu’aux années 1910, puis des réservoirs souples : une vessie en caoutchouc dans le corps qui est pressée avec un levier ou un bouton pour faire appel d’air (et donc d’encre quand on trempe la plume). Il y a aussi eu des JIF Waterman à cartouche en verre (des stylos américains transformés en France), j’en ai un seul mais si j’en trouvais d’autres pour pas trop cher ça m’intéresserait rien que parce que ça n’a aucun sens.
Je n’avais pas du tout pensé au plastique et au caoutchouc ! (Et c’est la première fois que j’entends parler de cartouches en verre.) C’est intéressant, comment est-ce qu’on stabilise le plastique ?
Il faut principalement qu’il soit bien poli et pas cassé, sinon au contact de l’humidité ou des sécrétions des mains ça peut mal se passer. Le caoutchouc vulcanisé peut être légèrement chauffé pour le rendre moins sec d’aspect. Difficile de faire des miracles… et il faut toujours se contenter des encres connues pour ne pas poser de problèmes.