Sauf que le droit de cuissage est un élément de la mythologie républicaine pour prétendre à une supériorité morale sans équivoque sur l’Ancien Régime, si des détritus arrivent à abuser de leur position actuellement dans le monde du travail pour violer des subalternes, c’est de la criminalité sans prestige et dont les équivalents historiques sont plutôt une norme des abus de pouvoirs de la vermine qui subjugue les plus faibles qu’eux.
Le cours n’apprend qu’une version furieusement politiquement correcte du monde du travail et des parcours professionnels ouverts aux étudiants (pour ne pas avouer que les embauches avec des diplômes en sciences humaines sont rarement au niveau de ceux-là ?), le médiéval fantastique est plutôt infantilisant dans ce contexte. Pour bien préparer des étudiants d’histoire au monde du travail actuel ce serait plus intéressant d’apprendre l’histoire des courants de pensée majoritaires chez les patrons des plus grosses entreprises françaises, et donc l’idéologie du management moderne, ses techniques de manipulation, etc. mais j’en demande trop.
Ah je ne pensais pas aux abus sexuels mais plutôt au sens métaphorique d’avoir “mal au fondement”.
Par contre je ne savais pas que c’était des étudiants en Histoire. J’ai connu beaucoup de gens en fac d’Histoire et malheureusement, 100% d’entre eux, ne voyaient qu’un seul et unique débouché: Prof d’Histoire.
Ils ont donc tous été pion. Puis certain ont réussi à décrocher un poste de prof, mais bien plus tard. Je trouvais ça un peu triste (moi j’y étais à cause d’Indiana Jones et Tomb Raider, j’étais pas forcément très intelligent à l’époque 🙄)
Si le seigneur a un droit de cuissage alors le cour par analogie c’est pas si con en 2025.
Sauf que le droit de cuissage est un élément de la mythologie républicaine pour prétendre à une supériorité morale sans équivoque sur l’Ancien Régime, si des détritus arrivent à abuser de leur position actuellement dans le monde du travail pour violer des subalternes, c’est de la criminalité sans prestige et dont les équivalents historiques sont plutôt une norme des abus de pouvoirs de la vermine qui subjugue les plus faibles qu’eux.
Le cours n’apprend qu’une version furieusement politiquement correcte du monde du travail et des parcours professionnels ouverts aux étudiants (pour ne pas avouer que les embauches avec des diplômes en sciences humaines sont rarement au niveau de ceux-là ?), le médiéval fantastique est plutôt infantilisant dans ce contexte. Pour bien préparer des étudiants d’histoire au monde du travail actuel ce serait plus intéressant d’apprendre l’histoire des courants de pensée majoritaires chez les patrons des plus grosses entreprises françaises, et donc l’idéologie du management moderne, ses techniques de manipulation, etc. mais j’en demande trop.
Ah je ne pensais pas aux abus sexuels mais plutôt au sens métaphorique d’avoir “mal au fondement”.
Par contre je ne savais pas que c’était des étudiants en Histoire. J’ai connu beaucoup de gens en fac d’Histoire et malheureusement, 100% d’entre eux, ne voyaient qu’un seul et unique débouché: Prof d’Histoire.
Ils ont donc tous été pion. Puis certain ont réussi à décrocher un poste de prof, mais bien plus tard. Je trouvais ça un peu triste (moi j’y étais à cause d’Indiana Jones et Tomb Raider, j’étais pas forcément très intelligent à l’époque 🙄)