Le travail ne paie plus et l'héritage est devenu la principale composante de la richesse des ménages. Progressivement, nous avons basculé d'une société du mérite à une société de rentiers, s'alarme Antoine Foucher.
Je spamme un peu pardonnez moi, c’est le dernier promis.
Premièrement, avec ses citères, la “société du travail” n’a jamais existé, même dans les années 50 à 70. Et puis pour comparer revenu du travail vs rentes, il ne s’intéresse qu’aux retraites ? Pas une seule mention des revenus du capital ? Je sais bien que c’est les Echos mais quand même, la ficelle est très grosse. Cependant, il est en effet intéressant de poser la question de l’héritage et des limites qu’il conviendrait d’y imposer. Malheureusement il ne va pas jusque là, se contentant de dire : “les héritiers héritent beaucoup et de plus en plus”. Quelle analyse…
Ne parlons même pas des solutions proposées qui ne peuvent donc qu’être à côté de la plaque quand, comme ici, l’analyse l’est tout autant.
Premièrement, avec ses citères, la “société du travail” n’a jamais existé, même dans les années 50 à 70. Et puis pour comparer revenu du travail vs rentes, il ne s’intéresse qu’aux retraites ? Pas une seule mention des revenus du capital ? Je sais bien que c’est les Echos mais quand même, la ficelle est très grosse. Cependant, il est en effet intéressant de poser la question de l’héritage et des limites qu’il conviendrait d’y imposer. Malheureusement il ne va pas jusque là, se contentant de dire : “les héritiers héritent beaucoup et de plus en plus”. Quelle analyse…
Ne parlons même pas des solutions proposées qui ne peuvent donc qu’être à côté de la plaque quand, comme ici, l’analyse l’est tout autant.