- cross-posted to:
- feminisme
- cross-posted to:
- feminisme
Le luteran en tout cas, ça concerne la prise au long terme.
Ce qui est relou c’est que le luteran était par ailleurs plus confort. D’où le fait qu’il y ait toujours possibilité de prescription mais soumis à signature d’un papier d’information. ( balance bénéfice risque tout ça…)
Ce qui est relou c’est que le luteran était par ailleurs plus confort. D’où le fait qu’il y ait toujours possibilité de prescription mais soumis à signature d’un papier d’information. ( balance bénéfice risque tout ça…)
De maniere plus large, cest aussi ce qui va pas.
On leur presente pas toute les infos d’une. Et de l’autre de maniere plus generale, le bien etre de la femme ou sa consideration sont pas prises en comptes ou plus facilement ignorees.On se doute que si de telles tumeurs étaient provoquées par un médicament pris par une large partie de la population masculine, cela provoquerait une onde de choc dans le corps médical mais également dans toute la société, jusqu’aux plus hautes sphères de l’État. Mais sans surprise, lorsqu’il s’agit de médicaments aux risques létaux prescrits uniquement à des femmes et personnes menstruées… alors le scandale est vite oublié.
Ces révélations ne sont pourtant pas nouvelles, puisque l’Agence Nationale du médicament publiait déjà une étude sur le sujet le 26 juin dernier, comme le rapporte le journal Libération, qui avait déjà publié un article sur une précédente étude de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament cinq ans plus tôt sur les risques de tumeurs cérébrales liées à l’Androcur, en 2018. Un médicament commercialisé par le Laboratoire Bayer, prescrit depuis les années 80, et qui l’est toujours aujourd’hui ! En 2018, Libération s’interrogeait déjà : «Pourquoi ce médicament a-t-il continué à être prescrit largement alors qu’une première alerte a été émise dès 2009 ?» Nous sommes 15 ans plus tard et ce médicament peut toujours être prescrit
Peut etre que la vision de ce qui est confort aurait ete differente, chez beaucoups, certaines,
Entendu parler ce de y’a genre 4-5 ans. Plus tôt que la majorité car dans le bureau de l’association de patient. Ensuite y’a encore eut le temps entre “y’a ptet un truc là” et “yep, y’a bien un truc”.
Y’a la grosse question de “quelle alternative”. Dans mon cas je suis passée à la progestérone. Maintenant mon corps semble s’y être adapté, ça va mieux.
Si c’est genre souffrir le martyr tout les mois à cause d’une endometriose ou un risque plus élevé de méningiome le choix peut ce poser différemment.
Si c’est genre souffrir le martyr tout les mois à cause d’une endometriose ou un risque plus élevé de méningiome le choix peut ce poser différemment.
Oui, chacun ses choix,
Cest surtout que lindustrie pharmaceutique avec les moyens peut si elle veut, faire en sorte que certains choix n’aient a etre fait.Attention, aucune culpabilisation de ma part sur les usagers, ni l’article dailleurs.
Ce qui est pointe est bel et bien, les producteurs de ces medocs et leur manque dethique et responsabilite.