Et si on oubliait nos déchets nucléaires ? Derrière cette question, la problématique de la mémoire, celle de la transmission de données à travers le temps, mais aussi d’un choix de société que l’on peut mettre en perspective avec d’autres, comme la gestion des autres déchets dangereux mais aussi ménagers.

Cette vidéo a été réalisée en partenariat financé avec l’Andra, le concours de ma famille et l’assistance bien-aimable de plusieurs amis notamment pour la mise à disposition de lieux de tournage.

  • Syl
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    3 months ago

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    • peotr26@sh.itjust.worksOP
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      10 months ago

      La vidéo traite surtout de l’aspect de la mémoire des lieux de stockage des déchets (nucléaires, mais pas que). Et peu des solutions de stockage des déchets radioactifs.

    • gnygnygny@lemm.ee
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      10 months ago

      A cette époque la terre n’était pas peuplée donc pas source de danger

      • bouh@lemmy.world
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        10 months ago

        Cet endroit existe toujours. Et l’endroit à été peuplé pendant environ l’histoire de l’humanité

        • gnygnygny@lemm.ee
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          10 months ago

          Si vous parlez d’Oklo (je ne connais pas d’autre reacteur naturel) le phénomène s’est déroulé il y a 2 milliards d’année.

          • bouh@lemmy.world
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            10 months ago

            L’idée c’est que les déchets radioactifs étaient toujours là quand on les a trouvé, et y avait personne qui était mort autour a cause de ça.

            • gnygnygny@lemm.ee
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              10 months ago

              Pas de peuplement, enfouissement sous des centaines de mètres d’un uranium aujourd’hui plus pauvre que dans les mines en activitées. Comment cela pourrait-il constituer une quelconque mortalité ? Les études précisent bien qu’il n’y a pas de parallèle direct à établir avec le stockage en profondeur contemporain. Stockage qui est en l’etat un laboratoire. Celui-ci justifie-t-il les coûts engendré par l’enfouissement ? L’Andra a ma connaissent n’a pas planché sur les alternatives de surface, les solutions alternatives n’ayant pas été inconsidérées. Peut-être à tort.