Le premier, Witness, de Peter Weir, avec Harrison Ford et Kelly McGillis.
Un drame romantico-policier entre un flic et une jeune mère veuve, Amish. Lors d’un voyage pour rendre visite à de la famille, le fils de cette dernière est témoin du meurtre brutal d’un flic, infiltré, dans les toilettes publiques de la gare de Philadelphie. Le policier chargé de l’enquête se rend bien vite compte qu’il y a des pourris dans la police locale et part se planquer dans la communauté de la mère et du garçon.
Très années 80, assez vu et revu, mais ça se laisse regarder facilement, avec une certaine nostalgie pour les films de cette époque. Il y a un côté assez comique à voir Harrison Ford passer son temps la chemise à moitié ouverte et faire perler, en buvant, de la limonade sur son menton et son torse sous les yeux emplis de désir de la jeune veuve, collet monté et petit bonnet sur les cheveux.
Le deuxième, Poulet au vinaigre de Claude Chabrol qui a lancé la série de films et téléfilms avec l’inspecteur Lavardin, joué par Jean Poiret. Le film se déroule dans une petite ville de Normandie (Seine-Maritime). Trois notables harcèlent une mère handicapée et son fils pour racheter leur maison. Deux meurtres s’ensuivent.
J’ai beaucoup plus accroché avec ce film, les décors et l’humour typiquement français, très moqueur des petits bourgeois. La relation entre la mère handicapée et son fils m’a fortement rappelée le film Psychose d’Hitchcock. L’inspecteur ne débarque qu’à la moitié du film. S’il a une certaine saveur, à mon avis, le film pouvait même se passer de lui. Par contre, il m’a donné envie de tenter des œufs sur le plat au paprika avec un café au lait pour le petit-déjeuner….
Anecdote rigolote : le film s’appelle Coq au vin en anglais. Il faut croire que ce plat est plus connu à l’étranger que le poulet au vinaigre. J’avoue moi-même n’avoir jamais goûté ce plat.
J’ai vu deux films de 1985.
Le premier, Witness, de Peter Weir, avec Harrison Ford et Kelly McGillis. Un drame romantico-policier entre un flic et une jeune mère veuve, Amish. Lors d’un voyage pour rendre visite à de la famille, le fils de cette dernière est témoin du meurtre brutal d’un flic, infiltré, dans les toilettes publiques de la gare de Philadelphie. Le policier chargé de l’enquête se rend bien vite compte qu’il y a des pourris dans la police locale et part se planquer dans la communauté de la mère et du garçon. Très années 80, assez vu et revu, mais ça se laisse regarder facilement, avec une certaine nostalgie pour les films de cette époque. Il y a un côté assez comique à voir Harrison Ford passer son temps la chemise à moitié ouverte et faire perler, en buvant, de la limonade sur son menton et son torse sous les yeux emplis de désir de la jeune veuve, collet monté et petit bonnet sur les cheveux.
Le deuxième, Poulet au vinaigre de Claude Chabrol qui a lancé la série de films et téléfilms avec l’inspecteur Lavardin, joué par Jean Poiret. Le film se déroule dans une petite ville de Normandie (Seine-Maritime). Trois notables harcèlent une mère handicapée et son fils pour racheter leur maison. Deux meurtres s’ensuivent.
J’ai beaucoup plus accroché avec ce film, les décors et l’humour typiquement français, très moqueur des petits bourgeois. La relation entre la mère handicapée et son fils m’a fortement rappelée le film Psychose d’Hitchcock. L’inspecteur ne débarque qu’à la moitié du film. S’il a une certaine saveur, à mon avis, le film pouvait même se passer de lui. Par contre, il m’a donné envie de tenter des œufs sur le plat au paprika avec un café au lait pour le petit-déjeuner….
Anecdote rigolote : le film s’appelle Coq au vin en anglais. Il faut croire que ce plat est plus connu à l’étranger que le poulet au vinaigre. J’avoue moi-même n’avoir jamais goûté ce plat.