Le Japon a inauguré vendredi 3 novembre une compétition apparue récemment en Corée du Sud. Il s’agit de grandes épreuves de "Space out". Tout le monde peut participer et le concept est assez simple : il s’agit simplement d’arriver à ne rien faire du tout.
Ok, ça me démange trop je vais vous raconter l’histoire du paresseux. Attention, pavé.
On raconte qu’il y avait dans un pays lointain un homme qui était paresseux de profession. On le payais pour venir dans les grandes maisons et les habitants se distrayaient à le regarder ne rien faire pendant de longues heures.
On raconte aussi qu’il y avait un homme dont le fils était très feignant. Je dirais même fainéant. Tous les jours, son père devait se battre avec lui pour qu’il fasse le moindre travail. Un jour, pris de colère, il annonce à son fils que s’il ne veut rien faire qu’il se fasse paresseux.
Il l’amène donc au paresseux qui profite de l’ombre d’un figuier et lui dit “Paresseux, je t’amène mon fils pour qu’il devienne ton apprenti. Prend le avec toi et regarde s’il a les compétences pour en faire un jour son métier.”
Le paresseux répond d’un vague geste de la main dont il faut comprendre “Qu’il s’installe avec moi un moment que je vois de quoi il est capable”.
L’enfant s’approche et, plutôt que s’asseoir s’allonge, sous le figuier ; ce qui est déjà un très bon signe.
Le temps passe. Le paresseux reste sous son figuier en poussant régulièrement des soupirs. De temps en temps, il temps un peu la main pour attraper un des fruits qui tombent vers le sol. L’enfant lui ne tente même pas de goûter les fruits parfumés qui l’entoure, quand soudain une énorme figue, mûre et très sucré, lui tombe sur la joue, tout près de sa bouche. L’enfant ne bouge pas mais la figue commence à le déranger de plus en plus. Finalement, ne tenant plus, il dit à son père “Papa, est-ce que tu peux pousser la figue dans ma bouche ?”
Furieux, le paresseux bondit sur ses jambes. Il jette par terre le fruit qu’il avait dans la main et s’adressant au père s’exclame : “Comment ?! Tu oses me l’envoyer comme apprenti ? Alors que c’est lui le maître !”
Ok, ça me démange trop je vais vous raconter l’histoire du paresseux. Attention, pavé.
On raconte qu’il y avait dans un pays lointain un homme qui était paresseux de profession. On le payais pour venir dans les grandes maisons et les habitants se distrayaient à le regarder ne rien faire pendant de longues heures.
On raconte aussi qu’il y avait un homme dont le fils était très feignant. Je dirais même fainéant. Tous les jours, son père devait se battre avec lui pour qu’il fasse le moindre travail. Un jour, pris de colère, il annonce à son fils que s’il ne veut rien faire qu’il se fasse paresseux.
Il l’amène donc au paresseux qui profite de l’ombre d’un figuier et lui dit “Paresseux, je t’amène mon fils pour qu’il devienne ton apprenti. Prend le avec toi et regarde s’il a les compétences pour en faire un jour son métier.”
Le paresseux répond d’un vague geste de la main dont il faut comprendre “Qu’il s’installe avec moi un moment que je vois de quoi il est capable”.
L’enfant s’approche et, plutôt que s’asseoir s’allonge, sous le figuier ; ce qui est déjà un très bon signe.
Le temps passe. Le paresseux reste sous son figuier en poussant régulièrement des soupirs. De temps en temps, il temps un peu la main pour attraper un des fruits qui tombent vers le sol. L’enfant lui ne tente même pas de goûter les fruits parfumés qui l’entoure, quand soudain une énorme figue, mûre et très sucré, lui tombe sur la joue, tout près de sa bouche. L’enfant ne bouge pas mais la figue commence à le déranger de plus en plus. Finalement, ne tenant plus, il dit à son père “Papa, est-ce que tu peux pousser la figue dans ma bouche ?”
Furieux, le paresseux bondit sur ses jambes. Il jette par terre le fruit qu’il avait dans la main et s’adressant au père s’exclame : “Comment ?! Tu oses me l’envoyer comme apprenti ? Alors que c’est lui le maître !”