C’est pas de sa faute, mais de celle de la société qui pendant des décennies a inculqué aux gens qu’un homme en position de faiblesse (agressé, triste, déprimé ou en pleurs…) n’était même pas humain et ne méritait pas de considération.
Et c’est toujours le cas aujourd’hui, si un homme se fait violer et qu’il en parle, tout ce qu’il va recevoir comme réponse c’est souvent quelque chose comme"t’as de la chance, à ta place j’aurais adoré, tu devrais t’estimer heureux".
C’est pas de sa faute, mais de celle de la société qui pendant des décennies a inculqué aux gens qu’un homme en position de faiblesse (agressé, triste, déprimé ou en pleurs…) n’était même pas humain et ne méritait pas de considération.
Et c’est toujours le cas aujourd’hui, si un homme se fait violer et qu’il en parle, tout ce qu’il va recevoir comme réponse c’est souvent quelque chose comme"t’as de la chance, à ta place j’aurais adoré, tu devrais t’estimer heureux".