J’ai vu Maigret et l’affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy, sorti en 1959, avec Michel Audiard aux dialogues et Jean Gabin dans le rôle de Maigret. Hum. Connaissant bien l’univers de Maigret, la gouaille de Jean Gabin exacerbée par les dialogues d’Audiard, c’est vraiment irritant. J’ai enchaîné, pour ne pas avoir le jugement hâtif, sur Maigret tend un piège, sorti l’année précédente avec la même équipe. J’ai abandonné au bout de 10 minutes. Maigret qui ne fait que parler, qui dit à sa femme “toi t’en as sous les bigoudis”, qui a une collection rotative de pipes chez lui et vue directe sur le génie de la Bastille, déjà c’était pénible. Mais alors quand, en plus, arrive Lino Ventura en personnage secondaire, à qui une auxiliaire de police fait une prise de catch, c’en était trop pour moi. Vive Bruno Crémer.
J’ai vu Maigret et l’affaire Saint-Fiacre de Jean Delannoy, sorti en 1959, avec Michel Audiard aux dialogues et Jean Gabin dans le rôle de Maigret. Hum. Connaissant bien l’univers de Maigret, la gouaille de Jean Gabin exacerbée par les dialogues d’Audiard, c’est vraiment irritant. J’ai enchaîné, pour ne pas avoir le jugement hâtif, sur Maigret tend un piège, sorti l’année précédente avec la même équipe. J’ai abandonné au bout de 10 minutes. Maigret qui ne fait que parler, qui dit à sa femme “toi t’en as sous les bigoudis”, qui a une collection rotative de pipes chez lui et vue directe sur le génie de la Bastille, déjà c’était pénible. Mais alors quand, en plus, arrive Lino Ventura en personnage secondaire, à qui une auxiliaire de police fait une prise de catch, c’en était trop pour moi. Vive Bruno Crémer.