L’objectif « zéro artificialisation nette » fixée dans la loi pour 2050 amène les villes à se densifier. Ce qui n’est pas sans poser question, notamment sur les perceptions de la densité urbaine et l’acceptation de cette densification par les usagers. Un sujet sur lequel s’est penchée la Chaire Réalités x Audencia - Faire vivre l’intelligence des territoires. Que met en évidence son étude ? Éléments de réponses.
Avec plaisir !
En ce qui me concerne, je pense que l’acceptabilité de la densité va bien au-delà du simple urbanisme. Il faut que ce soit des endroits où il fait bon vivre, et il faut donc que ce soit propre, qu’on s’y sente en sécurité, qu’il y ait de l’animation, etc. C’est possible, mais ça demande une forte présence des services publics sur le long terme.