ENQUÊTE. C'est l'un des plus gros chantiers annoncés en France d'ici 2030. Sur 220 kilomètres, la future LGV Bordeaux-Toulouse va mobiliser au moins 20 millions de tonnes de granulats pour ériger les remblais ferroviaires. Mais le long du tracé, les carrières sont au compte-gouttes et la SNCF va devoir payer le prix fort pour acheminer la ressource. La filière se dit même inquiète sur sa capacité d'extraction.
C’est intéressant, mais en quoi la facture écologique est lourde ?
Il faudrait la ramener au km de voyage en train sur 50 à 100 ans. La ramener en CO2 au trafic actuel en bagnole, etc.
Construire une LGV est un chantier titanesque ? Oui.
La sous-couche dure probablement un siècle. En effet au km/voyageur c’est très peu. C’est quand même un peu dommage de ne pas avoir une rotation de trains pour ramener les matériaux mais les camions c’est moins prise de tête.