ENQUÊTE. C'est l'un des plus gros chantiers annoncés en France d'ici 2030. Sur 220 kilomètres, la future LGV Bordeaux-Toulouse va mobiliser au moins 20 millions de tonnes de granulats pour ériger les remblais ferroviaires. Mais le long du tracé, les carrières sont au compte-gouttes et la SNCF va devoir payer le prix fort pour acheminer la ressource. La filière se dit même inquiète sur sa capacité d'extraction.
Oui, et Toulouse est une des seules grandes villes avec Nice mal reliée à Paris en train.
Et sur du plus long terme (si on rêve un peu !), ça serait également une partie d’un Bordeaux-Nice passant par Toulouse, Montpellier et Marseille qui soit digne du 21e siècle.