Vous avez désormais le contexte de mon recrutement, et un aperçu de mon état d’esprit en commençant le travail. Je vais désormais vous partager des petites anecdotes qui me sont arrivées, ou bien que j’ai entendues ici et là :
Tout d’abord, vous vous rappelez probablement que la réception de la promesse d’embauche avait été retardée car les dirigeants étaient malades et pas joignables. J’apprendrai au cours du mois qu’en effet ils avaient choppé un sacré virus des îles qu’on a pas en métropole, donc je ne peux leur en vouloir sur ce point là. Au contraire ils ont eu de la chance que ça ne se soit pas aggravé… Par contre concernant la première semaine où ils n’avaient pas de réseau, figurez vous qu’ils avaient simplement mis leurs téléphones en mode avion, et n’avaient pas trouvé comment retrouver leur connexion ! Sacrément embêtant quand toute décision doit passer par eux.
Les dirigeants n’étaient pas joignables, ce que j’avais mentionné dans un mail, qui avait été repris et “corrigé” par l’appel du RH-à-tout-faire (le premier gaslight). Le fait que je le mentionne dans ledit mail en mettant en copie les dirigeants premiers concernés les avait apparemment très énervés, il paraît que l’ambiance sur place avait été immédiatement dégradée, au point où ils avaient demandé à mon/ma collègue de s’excuser auprès de mois pour les délais, alors que cette personne n’y était pour rien !
Aucune prise de responsabilité donc, et je n’aurai jamais d’excuse de leur part.
Une dernière pour la route : mon contrat de travail était entièrement mégenré, car la personne RH-à-tout-faire avait simplement modifié le nom d’un ancien contrat sans se relire… Il a fallu le détruire et en sortir un nouveau à signer.
Ce premier contrat de travail ? Et bien il concernait la personne qui m’a précédé au même poste, qui est restée un jour seulement.
Promis demain on rentre dans le vif du sujet, la gestion de projet complètement éclatée de cette boîte 🤭
Un nouvel épisode du feuilleton de l’été se présente à vous !
Spoiler
Dans l’épisode précédent…
Vous avez désormais le contexte de mon recrutement, et un aperçu de mon état d’esprit en commençant le travail. Je vais désormais vous partager des petites anecdotes qui me sont arrivées, ou bien que j’ai entendues ici et là :
Tout d’abord, vous vous rappelez probablement que la réception de la promesse d’embauche avait été retardée car les dirigeants étaient malades et pas joignables. J’apprendrai au cours du mois qu’en effet ils avaient choppé un sacré virus des îles qu’on a pas en métropole, donc je ne peux leur en vouloir sur ce point là. Au contraire ils ont eu de la chance que ça ne se soit pas aggravé… Par contre concernant la première semaine où ils n’avaient pas de réseau, figurez vous qu’ils avaient simplement mis leurs téléphones en mode avion, et n’avaient pas trouvé comment retrouver leur connexion ! Sacrément embêtant quand toute décision doit passer par eux.
Les dirigeants n’étaient pas joignables, ce que j’avais mentionné dans un mail, qui avait été repris et “corrigé” par l’appel du RH-à-tout-faire (le premier gaslight). Le fait que je le mentionne dans ledit mail en mettant en copie les dirigeants premiers concernés les avait apparemment très énervés, il paraît que l’ambiance sur place avait été immédiatement dégradée, au point où ils avaient demandé à mon/ma collègue de s’excuser auprès de mois pour les délais, alors que cette personne n’y était pour rien !
Aucune prise de responsabilité donc, et je n’aurai jamais d’excuse de leur part.
Une dernière pour la route : mon contrat de travail était entièrement mégenré, car la personne RH-à-tout-faire avait simplement modifié le nom d’un ancien contrat sans se relire… Il a fallu le détruire et en sortir un nouveau à signer.
Ce premier contrat de travail ? Et bien il concernait la personne qui m’a précédé au même poste, qui est restée un jour seulement.
Promis demain on rentre dans le vif du sujet, la gestion de projet complètement éclatée de cette boîte 🤭
Nice!
Wtf par contre
En attendant la suite, joyeux jour du gâteau !
Merciii