L’attitude à tenir face à la montée de l’extrême droite a profondément divisé Emmanuel Macron et Gabriel Attal. Leurs stratégies, parfois contraires, se sont parasitées avant le second tour des élections législatives, le 7 juillet.
Où l’on apprend qu’Attal a doublé Macron, que Macron en a rien à battre de l’extrême droite au pouvoir, et que Darmanin parle des blédards qui ne voteront pas en juillet.
Où l’on apprend qu’Attal a doublé Macron, que Macron en a rien à battre de l’extrême droite au pouvoir, et que Darmanin parle des blédards qui ne voteront pas en juillet.
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