Lors de cette séquence, le 5 février, dans « Touche pas à mon poste », l’ex-star de télé-réalité avait raconté son viol. Le régulateur de l’audiovisuel reproche à l’animateur et aux chroniqueurs d’avoir « continué à lui poser des questions », malgré sa « situation manifeste de profonde détresse ».
Des vautours qui se repaissent du malheur des autres.