Interrogée sur son choix de l’établissement privé catholique Stanislas pour ses enfants, Amélie Oudéa-Castéra a invoqué le « paquet d’heures non remplacées » dans le public et son souci de « l’exigen…
Voir mon commentaire ici, la situation des écoles primaires publiques à Paris est moins idyllique qu’on ne pourrait le croire, et elles doivent gérer une grande diversité de situations et une dynamique négative un peu partout. Combiné à une politique du rectorat pour faire des économies comme partout, ça donne une situation qui ne convient pas du tout au bourgeois, qui se tourne donc vers le privé, aggravant encore la dynamique négative… Si y a un endroit où la fuite vers le privé cause des dégâts au public, c’est bien à Paris centre.
Je ne sais plus quel pays nordique n’a pas d’écoles privées, comme ça les bourgeois sont obligés de mettre leur enfants dans le public, et donc d’investir dedans.
Ouaip. La notion d’école privée, d’autant plus qu’elles sont en fait laaaargement subventionnées par l’État, me laisse vraiment sceptique. Surtout quand l’argument (apparent) principal est d’avoir des écoles de confession religieuse.
Le seul intérêt que je vois, c’est de permettre des fonctionnements complètement indépendants basés sur des pédagogies alternatives, mais d’une ça concerne plutôt les écoles hors-contrat et de deux, ça ouvre la voie à pas mal de dérives…
Voir mon commentaire ici, la situation des écoles primaires publiques à Paris est moins idyllique qu’on ne pourrait le croire, et elles doivent gérer une grande diversité de situations et une dynamique négative un peu partout. Combiné à une politique du rectorat pour faire des économies comme partout, ça donne une situation qui ne convient pas du tout au bourgeois, qui se tourne donc vers le privé, aggravant encore la dynamique négative… Si y a un endroit où la fuite vers le privé cause des dégâts au public, c’est bien à Paris centre.
Je ne sais plus quel pays nordique n’a pas d’écoles privées, comme ça les bourgeois sont obligés de mettre leur enfants dans le public, et donc d’investir dedans.
Ouaip. La notion d’école privée, d’autant plus qu’elles sont en fait laaaargement subventionnées par l’État, me laisse vraiment sceptique. Surtout quand l’argument (apparent) principal est d’avoir des écoles de confession religieuse.
Le seul intérêt que je vois, c’est de permettre des fonctionnements complètement indépendants basés sur des pédagogies alternatives, mais d’une ça concerne plutôt les écoles hors-contrat et de deux, ça ouvre la voie à pas mal de dérives…