• alex [they, il]
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    Français
    36 months ago

    D&D c’est toute mon adolescence, et ça m’a fait un choc de lire, des années plus tard, des analyses sur les règles et approches assez racistes du jeu de base. Un grand merci à notre MJ qui nous en avait bien protégés.

    Je suis vraiment content des efforts de Wizards of the Coast pour améliorer la situation, pas seulement chez les joueur·ses mais aussi et surtout chez eux, en embauchant des personnes issues de diverses minorités et en faisant des vrais efforts dans la construction du jeu.

    Se réapproprier un jeu c’est cool, y jouer, avec un coup de main des éditeurs, c’est encore mieux !

    • @Ziggurat@sh.itjust.worksOP
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      fedilink
      Français
      3
      edit-2
      6 months ago

      J’allais faire un long commentaire sous l’article, mais je m’y perd moi même, je te répond vite fait sur deux points

      Le premier, c’est qu je ne suis pas sur que D&D/Wizard soit un pionnier. Les outils de sécurité émotionnelle, j’ai l’impression que ça vient d’une scène JDR narrativiste plus que D&D, avec pas mal de critique du coté des joueurs de D&D. Après, vu le poids de D&D c’est bien qu’ils le poussent

      Le second, c’est qu’il faut se replacer dans le contexte jusqu’au 00’s on va dire, c’est facile de dire que le JDR n’est pas inclusif et que les geeks étaient de gros lourds. En même temps, on parle d’une époque où pédé était une des pires insultes, où un politicien pouvait parlé du bruit et de l’odeur. Il ya clairement des trucs qui étaient pas cools (le concept de Drow qui sont noirs donc mauvais, la banalisation du viol in game dans certains GN), et de nouveau D&D n’est pas forcément le plus propre avec son concept d’alignement qui fleure bon le protestantisme ricain, mais les gens reprosuisent aussi ce qu’on leurs montre et ce qu’illes vivent

      • alex [they, il]
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        Français
        46 months ago

        Oui : D&D part de très loin, il y a une dizaine d’années je me souviens que c’était très critiqué et que les commus JDR disaient beaucoup « jouez plutôt à insert un de 120 jeux possibles qui avaient des outils de sécurité émotionnelle etc. » et j’aurais dû replacer ça dans le contexte !

        Ce que je disais, c’était que j’étais content que le « gros poisson » rattrape enfin un peu son retard et montre que c’est pas les autres jeux qui sont pas des gros fragiles mais que c’est effectivement un modèle à suivre.