Pour la première fois depuis la découverte de ce virus en 1957, plusieurs traitements préventifs existent. Mais ils tardent à devenir disponibles, pour les bébés comme pour les plus âgés.
Je n’avais peut être pas fait attention avant, mais j’ai l’impression que les 2-3 dernières années il y a beaucoup plus d’actualités à ce sujet. Il y a vraiment plus de cas qu’avant ?
Si j’ai bien compris on a quelques maladies comme ça qui se sont très peu répandu dans la population pendant les années covid. On se retrouve donc avec une population moins protégée mais qui ne porte plus de masque. Il y a plus de cas, mais la gravité (nombre de cas graves) reste similaire aux années pré-covid.
Je pense aussi qu’on en parle beaucoup car c’est une maladie qui affecte les nourrissons et qui peut parfois être très grave + il y a le sujet du nouveau traitement préventif (ma fille l’a carrément eu à la maternité, ils faisaient pas ça avant) et du problèmes de pénurie de ce traitement.
Un bon mix épidémie plus intense + affecte les nourrissons + politique de santé publique ça fait couler de l’encre. Mais en soit y’a pas de gros drame et on est peut-être même sur le bon chemin pour s’en débarrasser définitivement.
Je n’avais peut être pas fait attention avant, mais j’ai l’impression que les 2-3 dernières années il y a beaucoup plus d’actualités à ce sujet. Il y a vraiment plus de cas qu’avant ?
Si j’ai bien compris on a quelques maladies comme ça qui se sont très peu répandu dans la population pendant les années covid. On se retrouve donc avec une population moins protégée mais qui ne porte plus de masque. Il y a plus de cas, mais la gravité (nombre de cas graves) reste similaire aux années pré-covid. Je pense aussi qu’on en parle beaucoup car c’est une maladie qui affecte les nourrissons et qui peut parfois être très grave + il y a le sujet du nouveau traitement préventif (ma fille l’a carrément eu à la maternité, ils faisaient pas ça avant) et du problèmes de pénurie de ce traitement.
Un bon mix épidémie plus intense + affecte les nourrissons + politique de santé publique ça fait couler de l’encre. Mais en soit y’a pas de gros drame et on est peut-être même sur le bon chemin pour s’en débarrasser définitivement.