L'Assemblée devrait adopter mardi le projet de loi de régulation de l'espace numérique, qui intègre dans la loi française de nombreux règlements européens en la matière, et durcit l'accès aux sites pornographiques, la réglementation du « cloud » et les sanctions contre les cyberharceleurs.
L’on ne peut que soupirer de voir que ce projet risque de passer sans que l’on ne puisse agir. Surtout cette partie sur le fait de faire un filtrage directement sur les navigateurs.
On peut imaginer les abus que ça peut générer si la décision de ce qui est bloqué ou non n’est pas aux mains de personnes de confiance.