La montée en puissance d’IA musicales comme Suno ou Udio bouleverse notre rapport à l’art, redonne des outils à des musicien·nes marginalisé·es, mais pourrait, d’ici 2028, capter près d’un quart des revenus des créateurs selon la CISAC, dans un vide législatif persistant.
Oui, et dans le cas de la musique, il n’y a même pas la possibilité (comme avec certains outils visuels) de relancer le processus sur une sélection bien précise du morceau. Ce n’est pas surprenant, cela dit, vu les commentaires de son propriétaire/créateur sur la pratique de la musique.