J’ai vu Mickey 17 au ciné. Je n’ai pas tout compris, mais je n’ai pas vu les précédents épisodes, du 1 au 16.
L’acteur principal, Robert Pattison, est particulièrement bon avec sa voix nasillarde (VO). Il y a un côté burlesque intéressant, mais je n’ai pas éclaté de rire. J’ai beaucoup aimé l’univers assez riche, bien plus riche que ce qui se fait actuellement en films de SF.
Mickey 17 était très très bon. Pattinson m’étonne toujours dans son jeu, il a l’air de pouvoir jouer tout et n’importe quoi en étant convaincant.
Maintenant, je le vois un peu comme Daniel Radcliffe, qui a plus vraiment besoin de bosser, mais quand il prend des rôles, c’est parce qu’il les a choisis et qu’il va s’éclater à les faire.
Fallait voir les prequels Minnie 1 à 4 et Pluto 12 surtout pour tout saisir, le Mickeyverse est un peu compliqué
Plus sérieusement j’ai bien aimé aussi, enfin de la bonne SF j’ai même espéré sombrer dans el cosmic horror à un moment, mais c’est vrai que le film s’essouffle un peu vers la fin, j’adore quand Bong Joon Ho fait du coréen, moins quand il américanise le scénar
J’ai vu Mickey 17 au ciné. Je n’ai pas tout compris, mais je n’ai pas vu les précédents épisodes, du 1 au 16.
L’acteur principal, Robert Pattison, est particulièrement bon avec sa voix nasillarde (VO). Il y a un côté burlesque intéressant, mais je n’ai pas éclaté de rire. J’ai beaucoup aimé l’univers assez riche, bien plus riche que ce qui se fait actuellement en films de SF.
Mickey 17 était très très bon. Pattinson m’étonne toujours dans son jeu, il a l’air de pouvoir jouer tout et n’importe quoi en étant convaincant.
Maintenant, je le vois un peu comme Daniel Radcliffe, qui a plus vraiment besoin de bosser, mais quand il prend des rôles, c’est parce qu’il les a choisis et qu’il va s’éclater à les faire.
Fallait voir les prequels Minnie 1 à 4 et Pluto 12 surtout pour tout saisir, le Mickeyverse est un peu compliqué
Plus sérieusement j’ai bien aimé aussi, enfin de la bonne SF j’ai même espéré sombrer dans el cosmic horror à un moment, mais c’est vrai que le film s’essouffle un peu vers la fin, j’adore quand Bong Joon Ho fait du coréen, moins quand il américanise le scénar