Les commentaires dans le post sur l’endive m’ont fait penser à ça.
Si vous avez été à la cantine scolaire ou au resto’U, que ce soit en France ou ailleurs dans la francophonie, avez-vous été dégoutés par certains plats ?
Moi oui, par plusieurs et durant des années je n’en ai pas mangé à cause de la cantine.
L’exemple en photo, les haricots verts de la cantine. Que dire de cette infamie ?
Ils étaient toujours trop cuits, d’une couleur vert foncé peu ragoutante, tout mou et plein de fils. Le goût ça allait mais la texture de bouillie et le visuel de vomi ne donnait pas du tout envie. Donc mon cerveau d’enfant a vite fait le lien haricot = pas bon.
Alors que non ! Les haricots c’est super quand c’est vert clair et un peu croquant.
PS: Je sais que la qualité a changé et que les cantines scolaire c’est un sujet sérieux en France. Pour leur défense, tout ces souvenirs ne viennent que d’une seule et même école. Plus tard au lycée et après, on avait des vrai chefs passionnés et sympa et la bouffe était délicieuse. Mais la primaire et collège c’était le Mordor.
Je pense régulièrement à la moussaka de mon lycée. Il m’a fallu des années pour goûter une moussaka et me rendre compte qu’en fait, c’était censé être mangeable.
La julienne de légumes m’a aussi bien traumatisé, et pendant mes trois années lycées j’étais « végétarien » sauf le jour des cordons bleus (si le fait de manger du plastique est assumé, là ça va !).
(J’adore les légumes, donc ces expériences m’ont particulièrement marqué, mais comme pour toi c’était uniquement mon lycée, j’ai des très bons souvenirs avant et après et me souviens même avec émotion de la cantine du CROUS en master.)
Ah oui ça me dit quelque chose ces moussaka et julienne de légume. Comme la salade de carottes râpées.
Et effectivement c’est pourtant très bon, sauf les carottes que je ne mange toujours pas mais seulement car ça rend aimable et que j’ai une réputation à maintenir.
C’est un peu comme le couscous de la cantine, servi sans sauce et donc ultra sec. Pourtant le couscous c’est délicieux.