Alors que le point d’orgue du CPAC de Washington ou « Conservative political action conference » aura lieu, ce samedi 22 février, avec un discours du président américain Donald Trump, des conservateurs du monde entier sont sur place et notamment un certain Jordan Bardella. Le patron du Rassemblement national (RN), qui devait donner une conférence dans la journée de vendredi, l’a cependant annulée en raison du « geste nazi » d’un intervenant. Mais, même si cela fait débat au sein du parti, Jordan Bardella tourne de plus en plus le RN vers le trumpisme.
Ce n’est pas ce que je voulais exprimer. En fait, Trump est parti d’un parti très orienté, ultra libéral et pro-patron pour aller vers une sorte de fascisme là où le RN a toujours été les deux pieds bien ancrés dans le fascisme.
Bien évidemment, le RN n’a influencé personne à l’extérieur. Ils sont juste une constante française dans la continuité du fascisme d’antan. Et même si leur mode de propagande a évolué, le parti reste de toute façon ancré dans une histoire et une constante GUD (ou équivalent)