Très minoritaires dans leurs familles respectives, les « cathos de gauche » veulent faire valoir des arguments « de gauche » pour s’opposer au projet de loi qui arrive dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale ce lundi 27 mai.
Ça me fatigue de voir toujours autant de manque d’écoute chez les “contre” que chez les “pour”.
Pour moi c’est les “pour” qui ont un discours légèrement plus solide à la base : ne pas faire souffrir inutilement des gens et leur laisser le choix de ce qui est fait à leur propre corps. Les “contre” ont raison d’avertir sur les dangers de l’approche, surtout quand on a des vampires comme Macron au pouvoir.
Après, les “contre” me semblent carrément ignorer ce discours autour de la souffrance. Peut-être faudrait-il juste que je trouve une source qui leur est ouvertement favorable. Mais bon quand tes nerfs dégénèrent au point que tout geste te fait attrocément mal, ou ton système digestif rend l’âme et tu ne peux plus manger, la société qui te dirait “on tient à toi, on te soutient” n’est pas celle qui te maintient indéfiniment en vie. Surtout tant qu’on n’a fait découvert comment réparer toute “casse” du corps humain.
Vu que j’entends régulièrement les “pour” partager ce constat vis à vis du pouvoir, et l’intégrer dans leur discours, ils m’inspirent davantage confiance d’avoir pleinement considéré la question et les points de vue étrangers aux leurs.
Ça me fatigue de voir toujours autant de manque d’écoute chez les “contre” que chez les “pour”.
Pour moi c’est les “pour” qui ont un discours légèrement plus solide à la base : ne pas faire souffrir inutilement des gens et leur laisser le choix de ce qui est fait à leur propre corps. Les “contre” ont raison d’avertir sur les dangers de l’approche, surtout quand on a des vampires comme Macron au pouvoir.
Après, les “contre” me semblent carrément ignorer ce discours autour de la souffrance. Peut-être faudrait-il juste que je trouve une source qui leur est ouvertement favorable. Mais bon quand tes nerfs dégénèrent au point que tout geste te fait attrocément mal, ou ton système digestif rend l’âme et tu ne peux plus manger, la société qui te dirait “on tient à toi, on te soutient” n’est pas celle qui te maintient indéfiniment en vie. Surtout tant qu’on n’a fait découvert comment réparer toute “casse” du corps humain.
Vu que j’entends régulièrement les “pour” partager ce constat vis à vis du pouvoir, et l’intégrer dans leur discours, ils m’inspirent davantage confiance d’avoir pleinement considéré la question et les points de vue étrangers aux leurs.