Il est possible d’imaginer de nouveaux espaces politiques, plus ancrés et plus habités. Des territoires découpés « non par la législature mais par la nature ». C’est ce que propose la théorie biorégionaliste. Ses tenants rappellent que la question écologique est une affaire d’échelle et de sensibilité au vivant.
Au lendemain du premier tour des élections régionales, le constat est sans appel. Cet échelon administratif et politique n’intéresse plus grand monde. Près de deux tiers des Français et des (...)
Merci pour la carte, ça donne une meilleure perspective.
Il y a aussi les régions de bassins plus petits autour d’affluents qui sont importantes, sans parler des liens entre les nappes phréatiques et la captation des rivières.
À mon avis tout le processus de redéfinir des contours politiques en fonction de ça est très solarpunk, du moment que ce n’est pas fait avec des intentions productivistes qui pourraient aussi tout foutre en l’air, même en bio-régions.
Oui, d’ailleurs j’aurais du préciser, la carte que j’ai ajouté à mon commentaire c’est la première que j’ai trouvée en cherchant les bassins des fleuves, y’en a des plus détaillées qui peuvent aller plus loin je pense, mais j’aurais du donner une légende dès le début haha