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Heureusement qu’on a encore Acrimed pour faire du journalisme sur le journalisme.
Enfin, on ne peut clore sans mentionner le haut corporatisme de la profession, et plus encore du journalisme politique, historiquement réticent à toute remise en question. Ce fut la même indignation généralisée, pour des motifs différents, lorsque LFI avait diffusé une affiche épinglant Nathalie Saint-Cricq. Et de ce point de vue, toucher à Olivier Pérou, et donc au Monde, c’est s’en prendre à l’élite journalistique.
La lutte contre l’extrême-droite de Médiapart, L’Humanité ou Libération s’arrête lorsqu’il faut signer une tribune avec le Figaro pour défendre les intérêts de leur petite corporation.
Ça devient aussi gros que transparent.


