L’Allemagne, la France, l’Espagne et la Pologne participent à la relance du projet. Ils soutiennent l’idée que scanner chaque message, même chiffré, devient indispensable dans la lutte contre les réseaux pédocriminels. Le projet de règlement obligerait ainsi tous les opérateurs, y compris ceux qui utilisent le chiffrement de bout en bout, à inspecter toutes les communications envoyées ou reçues.