Que des gens militent pour l’avancée des droits humains de façon non-violente c’est une chose. Ça peut fonctionner dans des démocraties avancées non soumises a des stress internes ou externes trop puissants (chômage de masse, guère civile, invasion).
Que des démocraties renoncent a s’armer face a un risque existentiel pour éviter la guerre, c’en est une autre. Donne-moi un exemple ou ça a marché.
L’article du MAN n’est pas stellaire dans la mesure où il n’évoque pas trop les stratégies de remplacement nécessaires. Le simple abandon de l’armement mène à un entre-deux pas top. Il faudrait articuler ça à une prise de responsabilité générale de la défense, ce qui inclut de penser le cas où il faut volontairement se mettre en danger, ou même simplement inhiber l’envie de répliquer à une attaque violente par une attaque violente (au niveau de l’individu ou du groupe). Ceci dit, si tu veux des exemples de méthodes non-violentes en général qui ont marché, sans aller chercher les trucs ultra-connus comme Gandhi, je peux te citer l’ordre de de Gaulle lors de la tentative de coup d’état des généraux, qui demandait à toute personne croisant les soldats à leurs ordres de leur dire de renoncer, et de ne pas leur obéir. Tu jeter un coup d’œil à ce livre : Sharp, Jenkis (2009) L’anti-coup d’état.
Que des gens militent pour l’avancée des droits humains de façon non-violente c’est une chose. Ça peut fonctionner dans des démocraties avancées non soumises a des stress internes ou externes trop puissants (chômage de masse, guère civile, invasion).
Que des démocraties renoncent a s’armer face a un risque existentiel pour éviter la guerre, c’en est une autre. Donne-moi un exemple ou ça a marché.
L’article du MAN n’est pas stellaire dans la mesure où il n’évoque pas trop les stratégies de remplacement nécessaires. Le simple abandon de l’armement mène à un entre-deux pas top. Il faudrait articuler ça à une prise de responsabilité générale de la défense, ce qui inclut de penser le cas où il faut volontairement se mettre en danger, ou même simplement inhiber l’envie de répliquer à une attaque violente par une attaque violente (au niveau de l’individu ou du groupe). Ceci dit, si tu veux des exemples de méthodes non-violentes en général qui ont marché, sans aller chercher les trucs ultra-connus comme Gandhi, je peux te citer l’ordre de de Gaulle lors de la tentative de coup d’état des généraux, qui demandait à toute personne croisant les soldats à leurs ordres de leur dire de renoncer, et de ne pas leur obéir. Tu jeter un coup d’œil à ce livre : Sharp, Jenkis (2009) L’anti-coup d’état.
On est d’accord, la réalité est plus complexe que le titre du post et ma réponse avait pour but de souligner ce simplisme.